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bulleJ I.R.A... I.R.A pas (A.R.I)

 
 
Avant toute intervention esthétique, comme pour tout projet d'importance, la logique voudrait que l'on passe par une étape de recueil d'Information (I), une réflexion suffisante (R) et enfin une action (A) - qui est en fait celle du praticien.
Information : quelles sont les techniques, les produits, les interventions qui peuvent répondre à mon souhait ? Quel est le recul correspondant, les suites et risques, les éventuelles études avec indice de satisfaction des patients, les coûts ? Quels sont les praticiens habilités à pratiquer ces différentes propositions et quels éléments permettent de juger de la qualité des praticiens consultés ? etc.
 
Réflexion : à partir de ces éléments d'information, ma motivation est-elle modifiée dans un sens ou l'autre ? Ne suis-je pas le jouet de paramètres inconscients qui risquent de me faire prendre une décision dommageables et, au moindre doute, ne devrais-je pas consulter au moins une fois un psychologue ou un psychiatre afin de mieux connaître le fond de ma motivation ? Quel est l'avis de mon entourage ? Comment choisir entre plusieurs solutions apparemment équivalentes émanant de praticiens différents ? etc.
 
Action : la décision étant mature, il faut alors s'en remettre à la compétence du praticien et de la technique.
 
Cette démarche I.R.A semble tomber sous le sens.
Pourtant nombre de patients inversent le processus et commencent par :
 
Action : une publicité, un article, un passage à la télé suffit à décider du praticien et/ou de la technique. Tout se passe bien ? Tant mieux. Il y a un problème (20 à 30% d'insatisfactions/ratages) : il faut passer à l'étape suivante...
 
Réflexion : est-ce ma "faute" comme le dit le praticien ("c'est votre peau qui réagit mal" / "je vous avais prévenu de ce genre de risque" / "ça n'arrive jamais, vous n'avez vraiment pas de chance"...). Dois-je accepter ce qu'il considère comme une simple retouche alors que je n'ai plus confiance ? Faut-il aller voir d'autres praticiens pour prendre avis de ce qui s'est passé et comment réparer ? Dois-je demander des comptes au praticien, mais a-t-il commis une faute qui pourrait être reconnue comme telle ? Quels sont les recours amiables ou juridiques possibles ?
Toutes questions dont on ne trouve éventuellement réponse que lors de l'étape suivante :
 
Information : recherche d'une association de consommateurs, d'un avocat, d'un médecin de recours, de praticiens susceptibles de "réparer"... soit un parcours - sans oublier l'aspect financier - dont on se passerait bien quand on se sent floué, coupable d'on ne sait quoi, fragilisé et déprimé.
 
Autrement dit, entre I.R.A et A.R.I, il faut choisir... pour autant que le libre arbitre ne soit pas une illusion.
 
 

Tous les informations concernant le "bon" choix du praticien, les différentes interventions
esthétiques (bénéfices et risques réels), les recours éventuels sont développés dans le cadre d'un abonnement à INFOESTH.
 
 
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